Dans la mélodie de la mer, les nuages noirs se réunissent dans le ciel. Le vent qui appelle la tempête retentit avec force.
Les mots s'apparentant à une énigme font ricaner les sorcières, Et le banquet de la nuit distordue se répète encore et encore.
L'espoir, est-ce un péché? Les papillons dorés tombent en enfer. Dans combien de péchés ont-ils trempé leurs ailes?
Ne pleure pas, Détruis l'illusion emprisonnée, Et je t'accorderai une mort rapide. La promesse non tenue brûle profondément dans mon coeur Et explose d'une couleur rouge, très rouge...
N'as-tu jamais péché? Quel sera le poids de mon châtiment? Entends-tu la voix sans voix? Te rends-tu compte de tes péchés?
Telles des roses pourpres, les blessures incurables Fleurissent dans les coeurs remplis de haine.
Garder un secret, est-ce un péché? L'oiseau à une aile, qui s'est fait voler l'autre aile, Quel nom va-t-il appeler dans ses derniers instants?
Ne fuis pas! Les erreurs, la vérité comme les mensonges, Je les transformerai en une magie qui pardonne tout. Même les réponses trop tardives sont agréables mais douloureuses. Si je les étreins fermement, regarde...
Une lumière éblouissante jaillit et la porte qui mène au paradis s'ouvre.
Un miracle se déverse sur le destin obstiné Et les mondes entremêlés s'écroulent.
S'il-te-plaît, ne prononce pas l'incantation éternelle, S'il-te-plaît, n'écoute pas mon véritable souhait.
Ne pleure pas, Détruis l'illusion emprisonnée, Et je t'accorderai une mort rapide. La promesse non tenue brûle profondément dans mon coeur Et explose d'une couleur rouge, très rouge...
Il est impossible d'atteindre le véritable secret Si nous ne remarquons pas tout de l'amour. En: Cette nuit se termine. Qu'est-ce que je recherche? Les souvenirs rient cruellement de moi...
Mon amour, ne rejette pas le désir qui permet de trancher les ténèbres. Mes prières n'ont nulle part où aller pendant ce dernier banquet fou. Cher démon, exauce mon désir de déchirer mon coeur. C'est un désir impardonnable. Fais une offrande à Dieu!
Ce rêve se termine. A quoi penses-tu? A la poésie de la pitié, au sourire du mépris... Les souvenirs ne font que tourner dans l'éternité.
Ma petite chose, ne rejette pas le désir de révérer la magie. Mon âme n'a nulle part où aller pendant ce miraculeux banquet fou. Mon enfant, recherche le désir de trembler de peur! C'est un désir qui n'abandonne pas. Fais une offrande à Dieu!
Allez, c'est un mystérieux accomplissement!
Mon sacrifice, ne pleure pas pour le désir de trancher les ténèbres. L'homme triste n'a nulle part où aller pendant ce banquet fou promis. Cher futur, résiste au désir d'aimer le désespoir! C'est le désir de qui? Fais une offrande... Fais une offrande... Fais une offrande à Dieu!